recommandation
2 nouveaux sites de recommandation : le choix des bibliothécaires et le choix des libraires
Voici deux initiatives nouvelles sur le thème de la recommandation :
Catalogue public étendu grâce à librarything (tags, suggestions et autres à venir) sur le blog de Xavier Gallaup ;
Quels objectifs pour les recommandations ? sur le blog de bibliobsession 2.0.
Le département Infocom de l’IUT de La Roche-sur-Yon et ses partenaires, vous invitent à débattre et à réagir le Jeudi 20 mars 2008 sur ce sujet :
- Matinée : Série d’interventions
- Michel Fauchié (Président de l’ADDNB)
- François Bon (créateur du site remue.net)
- Olivier Ertzscheid (Maître de conférences en sciences de l’information)
- Isabelle Aveline (créatrice du site zazieweb)
12h30 – 13h45 : REPAS
- Après-midi : table ronde
- libraires, éditeurs, bibliothécaires
La recommandation est assurément un des chemins qui conduisent les lecteurs vers les livres, et pourquoi pas vers les médiathèques si nous les intégrions dans nos tristes zopacs, vers leurs collections avec l’appui des médiateurs que nous ne sommes plus assez… noyés dans les déluges de paperasses des marchés publics et autres facilitateurs de tourner en rond !!! Aaargghh…
Silence
Polyphonies du livre : appel à contribution sur Affordance
Pour ceux qui ne connaissent pas encore le blog Affordance, je relaie simplement son appel à contribution pour les nouvelles polyphonies du livre.
Le thème : « Bibliothèques, libraires, éditeurs : quelle place pour les métiers du conseil dans l’industrie de la recommandation ? »
C’est le 20 mars 2008, la veille du printemps !
« Je ne souffle mot » (Blaise C.) .
Allez voir !
Silence
Jubilation 2 : comment utiliser Google maps pour ses usagers ? Une idée de recommandation mise en place par Bibliosurf
Les questions :
Comment utiliser les outils que nous proposent le Web ?
Comment mettre en valeur tout ce savoir qui dort parfois (non, ne criez pas, j’ai dit parfois) dans la tête des bibliothécaires ?
Comment mettre en valeur vos collections, votre politique documentaire, vos choix quoi… sur le Net ?
Comment attirer vos lecteurs dans votre bibliothèque physique ?
Et le top, comment les faire voyager sans un sou ?
(Y aura bientôt plus de pétrole, faut déjà anticiper !)
La méthode :
Simple : votre collègue qui est spécialiste de romans policiers (par exemple), vous l’enfermez dans le bureau du responsable du site… (sans menaces excessives et sans violences, bien sûr) et avec elle ou lui , vous tagez, par exemple, une carte du monde avec les lieux du crime des polars qu’il ou elle, préfère… Vous pouvez renouveler l’opération avec la ou le, collègue spécialisé(e) en Art, celui ou celle, spécialisé(e) en Musique…
Le résultat :
vous pouvez aller le voir sur le site de Bibliosurf dont l’animateur s’est amusé à tagé grâce à un outil du méchant loup (Google maps) une carte mondiale de géolocalisation des polars. Il s’est « inspiré en partie d’un travail réalisé précédemment par Jean-Marc Laherrère et encore en ligne sur le site bibliosurf à la rubrique guide de lecture sous l’intitulé « La ville et les mauvais genres« « .
Patientez quelques secondes avant que les marqueurs s’affichent et zoomez en double cliquant : dans une même ville, un auteur peut en cacher un autre ! Chaque tag renvoie vers une notice du roman ou à la fiche de l’auteur. »
Pour animer la page de son portail, tiens, ça en jette ! Pas mal à utiliser pour une mise en valeur de nos collections, pour attirer le chaland (euh… pardon, l’usager !)
Mince, demain, qui j’enferme dans mon bureau ?
Voici des tutoriels que j’ai trouvé pour vous aider :
d’abord, expliqué par Google Maps,
puis pour mettre sur Spip, ou géolocaliser sur WordPress
Y a même un wiki (en anglais) pour utiliser mieux, cliquez : Mapki.
A vous de jouer !
Enfin, pour enfoncer le clou (en fer, pas 2.0) , lisez le billet du taiseux bavard sur Detoutsurien. Car, il parait que le contenu de notre cerveau sera prochainement téléchargeable sur des disques… Aïe…
Sans rancune,
Silence
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A signaler : Bibliosurf lance un blog d’explication pour faire son blog de bibliothèque. Alors, plus d’excuses, foncez…
Bibliosurf : une « petite » librairie sur internet à soutenir ou comment arrêter de râler contre les bulldozers.
Sous-titrée une librairie de lecteurs, bibliosurf.com est une « petite » librairie sur le net qui, en plus de nous proposer les choix de son libraire, propose un certain nombre de services à ses utilisateurs :
des interviews d’auteurs ;
des guides de lectures, passionnants comme le dernier (superbe !) sur le polar us : du crash au crack ;
l’intégration des notes de lecture de lecteurs attentifs dans la rubrique Vous avez lu, ce que l’on nomme dans notre jargon de bibliothécais, la recommandation ;
ou encore une manière originale de parler des livres et de leurs auteurs comme ceux de Lilian Bathelot.
Allez jetez un oeil, voire les deux…
Bibliosurf.com ? « Une « petite » librairie interactive, ouverte depuis mars 2007 avec un catalogue de 6000 livres référencés et un accès à 60 000 titres avec une spécialisation en littérature de genre et un fonds dédié à la cuisine… Ce sont les internautes qui à terme vont constituer l’offre. Le contenu éditorial est constitué de l’apport des éditeurs (description bibliographique, présentation des ouvrages et couverture), et renforcé par l’interactivité et la syndication des articles de centaines de journaux et autres blogs littéraires…. A noter qu’une partie des archives du site Mauvais genres est reprise.«
Son directeur-webmestre, Bernard Strainchamps animait donc le site Mauvais genres. Dans un billet, titré Du port gratuit à la baraque à frites, du blog de libération Livres échanges (Des libraires parlent de leur métier au quotidien, de leurs lectures, de leurs rencontres), il évoque son parcours et sa tentative actuelle de faire vivre sa « petite librairie » sur le net malgré la concurrence des Amazon et autres bulldozers du même genre, qui détournent la loi Lang allègrement en proposant le port gratuit. (J’avoue : j’ai déjà commandé chez ces bulldozers ! ). Pourquoi ?
« La vraie différence entre un [Libraire] virtuel et un [Libraire] physique, c’est le port gratuit. C’est une pratique mise en place par Amazon en France, un détournement de la loi Lang, une vente à prime condamnée… mais qui perdure. Une fraude qui tue aussi la petite libraire sur le web. Si Amazon dispose de 50% de marge sur un livre, un petit libraire de 3ème catégorie a à peine 30%. Offrir le port pour p’tit libraire sur le web, c’est travailler gratuitement pour tous les livres coûtant moins de 15 euros. » (B.S.)
Et nous, que voulons nous ? Comment arrêter de râler à perte contre ces bulldozers (ce qui ne sert absolument à rien de toutes les manières) ?
Même si parfois la loi arrive à passer, voir un commentaire sur la condamnation d’Amazon(France) sur Lekti-écriture.com (un autre site fédérateur d’éditeurs dits indépendants, à découvrir).
On ne les empêchera pas d’avancer mais individuellement, on peut faire autrement en créant de micros-résistances et privilégier les achats chez les « petits » libraires ou chez ce type de librairie sur le net qui apportent du conseil, de l’énergie et de la passion.
« Pour la rentrée littéraire, j’ai créé un espace évolutif de présentation des romans qui deviendra au fil du temps un véritable guide de lecture. Inédit encore sur le web, ce mélange de techniques très bibliothéconomiques (revue de presse, comité de lecture, indexation, agrégation… ) ouvre de nouvelles perspectives de mutualisation des savoirs entre les professionnels du livre et les lecteurs. En tout cas, c’est une démarche qui place la technique au service de l’humain et non l’inverse. C’est un espoir dans le cadre de la dématérialisation des contenus. » (B.S.)
Vous ne trouvez pas ?
Je précise que je n’ai aucune action dans cette entreprise ni dans aucune d’ailleurs, que je ne connais pas Bernard S. et que voilà… j’aime bien son travail…Na !
Silence
Utiliser les outils du Web 2.0 en bibliothèque : un blog de comité de lecture et un blog de prix littéraire local !
Je vous préviens, c’est mon obsession du moment : comment utiliser les outils du Web en bibliothèque ? Je n’en dors plus… (enfin, si quand même…). Voici deux initiatives à partager :
Depuis peu, en novembre 2007, la BPI en liaison avec le festival du premier roman de Chambéry a créé un blog au titre certes explicite, toutefois un peu triste (?) :
Bpi – Blog 1er roman.
On y trouve :
- un compte rendu de chaque réunion du comité (catégorie “Rencontres”)
- les critiques émises sur chacun des livres lus (Catégorie “Premiers romans”)
Je trouve l’idée intéressante car elle permet évidemment la participation, la réaction.
***
Deuxième proposition : le Blog De la plume à l’oreille.
Projet autour de la lecture concernant les 3ème et seconde du bassin de Fréjus – St Raphaël – St Tropez.
« Ce projet lecture est né maintenant il y a 4 ans. Il réunit autour de lui plusieurs collèges et lycées du bassin de Fréjus – St Raphaël, s’étendant du golf de St Tropez à l’arrière pays, autour de Fayence et de Montauroux. Ce sont les élèves de 3ème et de seconde qui sont concernés par ce projet. Il comprend aussi les médiathèques de Fréjus et St Raphaël, partenaires à part entière du projet.
Les professeurs documentalistes, de lettres et les bibliothécaires des deux médiathèques de Saint-Raphaël et Fréjus se réunissent régulièrement en Comité de lecture, afin de:
- sélectionner 5 livres de littérature jeunesse de qualité et très récents ;
- se mettre d’accord sur le calendrier des animations ;
- discuter des modalités de mise en place de l’action.
Le but est de faire rencontrer un des auteurs de la sélection aux élèves. Les élèves sont aussi invités à visiter les médiathèques. Des animations autour des livres de la sélection y sont alors proposées.«
Montrer des expériences concrètes est l’un des objectifs de ce blog. Pourquoi les bibliothèques françaises ne communiquent pas autour de leurs expériences, à l’exemple de leurs consoeurs anglo-saxonnes ou nordiques ?
Comment relier toutes ces initiatives autour de la lecture ? Intéressant toutes ces expériences de critiques et de partages de lectures sur le web par des lecteurs anonymes ou pas, qui utilisent des sites comme Librarything, l’Agora des livres, Babelio ou Zazieweb, ou bien qui créent leur propre blog. Je suis fasciné par cette richesse, ce besoin de communication…
Pourquoi la bibliothèque n’est-elle pas au centre de cet univers là ?
Quels sont donc ces Copernic qui ont décentrés les bibliothèques pour en faire des satellites de la galaxie de la connaissance ?
(Prochainement, un billet synthétique sur les blogs de lecteurs)
Silence…
On lit…
Zaziweb et la médiation 2.0… a besoin de nous…
Je relaie entièrement le message d’Isabelle Aveline, créatrice et responsable du site Zazieweb (message paru dans Biblio.fr le 12 décembre 2007) qui fait une proposition à tous les professionnels du livre :
ZazieWeb existe depuis Juin 1996 sur la toile de l’internet culturel francophone. Conçu comme une véritable plate-forme d’échange, d’information et de mise en relation, chaque lecteur y crée son espace, définit son profil de lecture, commente sa bibliothèque, archive ses contributions, entre en relation avec d’autres lecteurs qui partagent ses centres d’intérêts (entres autres fonctionnalités…). C’est un site communautaire pour les lecteurs donc.
C’est aussi un outil de médiation de la lecture et des nouvelles pratiques de lecture, à la disposition des professionnels du livre (éditeurs, libraires, bibliothécaires…). Les potentialités du site sont importantes et souvent inexploitées. En tant qu’outil de médiation culturelle dans le domaine du livre par l’outil de prescription inédit qu’il propose : il permet la mise en valeur des fonds des éditeurs (de création de préférence…), le repérage et la valorisation du catalogue pour les bibliothécaires, et peut devenir un outil, de recherche et de lien avec le territoire pour les libraires, tout en relayant les événements & manifestations autour du livre.
Dans ce contexte on pourra dire que ZazieWeb est un réseau social francophone pour les amateurs de livres et les prescripteurs.
Le monde du livre expérimente en ce moment les prémisses de transformations importantes comme l’a connu l’industrie de la musique. (Re) apparaissent de nouveaux lecteurs de livres numériques comme Sony ou le Kindle de Amazon. Google poursuit son projet industriel de numérisation de livres, les auteurs se mettent à communiquer à travers les blogs ou des projets ciblés web… On observe ainsi toute une série de mutations propres au monde du livre et au numérique. Ces mutations technologiques s’accompagnent déjà de nouveaux usages concernant les pratiques de lectures : nomadisme, téléchargement, prêt, distribution, partage, échange, lecture/écriture web…
Il faudrait être capable d’accompagner/d’anticiper ces nouveaux usages par la mise en place d’interfaces technologiques et de gestion de contenus numériques, à la fois dans une nouvelle mise en forme de la médiation et anticiper la ré-organisation de la distribution. On observe ainsi comment les technologies sont des vecteurs de contenus et comment le design d’interface virtuel sur le net peut provoquer et accompagner du désir de lecture. (J’interviendrai d’ailleurs sur ce sujet le 22 janvier : Journée Fulbi – « Séduire en ligne » : le marketing des portails des bibliothèques et centres de documentation sur internet )
Or, aujourd’hui il se trouve que :
· Les bibliothécaires recherchent un outil de médiation pour promouvoir
leur sélection, valoriser leur catalogue et répondre à la demande
d’information et d’orientation d’un nouveau public de plus en plus «
internet native »
· Les institutions souhaitent des outils de diffusion et de médiation
adaptés aux nouveaux usages et capable de promouvoir les titres qu’ils
subventionnent, par exemple
· Les libraires voudraient se faire connaître dans la qualité et
l’originalité de leur lieu, sur un territoire donné et dans leur capacité
à promouvoir leurs fonds et l’édition de qualité
· Les éditeurs cherchent à faire connaître leur catalogue
· Les manifestations cherchent à promouvoir leur agenda
· Les auteurs expérimentent sur d’autres supports et outil de diffusion
Tous ces acteurs produisent déjà énormément de contenus et effectuent un travail de médiation important et qualifié, mais diffus et non mutualisé, et pas forcément en lien avec les nouveaux publics. Ce travail « médiatique » sur l’internet demande en effet du temps et la mise en place de technologies appropriées.
A l’heure où le Web est largement investi par le modèle libéral/viral des conglomérats industriels (Google, Amazon, FaceBook…) et leurs investissements marketing massif, le projet ZazieWeb — me semble t-il — peut proposer une alternative indépendante aux professionnels, objet d’intérêt des acteurs d’une politique du livre forte.
En optimisant son modèle technologique, le projet ZazieWeb aurait ainsi vocation à être travaillé – de l’intérieur – traversé par l’ensemble des professionnels de la « chaîne du livre » :
· Outil de promotion des livres et contenus culturels pour les libraires, éditeurs et bibliothécaires
· Réseau social à la disposition d’un projet de portail de vente des libraires indépendants
· Mise en liens /réseau des individus/des communautés & des contenus
· Expérimentation/confrontation entre la publication, l’édition & la technologie, l’outil, le média internet pour les auteurs
· Mise en place de flux d’information thématiques
Pourquoi ?
Le projet Zazieweb existe depuis 11 ans sur l’internet culturel francophone et bénéficie d’une visibilité et d’une audience certaine. Il n’a pas d’équivalent en taille et qualité/quantité sur le web culturel francophone. Il a des équivalents anglo-saxons : Goodreads, Librarything et Shelfari
Quelques chiffres :
· 1 500 000 pages vues mensuelles
· 1 700 visiteurs uniques
· 18 944 membres (à ce jour)
· 17 163 inscrits à la newsletter (à ce jour)
Le public :
· Les lecteurs amateurs
· Les bibliothécaires
· Les libraires indépendants
· Les éditeurs
· Les prescripteurs du livre
· …
Parce que…
ZazieWeb, c’est une communauté de lecteurs, il semblerait opportun à l’heure où les médias, les prescripteurs traditionnels sont en perte de lectorat/de public, d’architecture…, d’interfacer ce public de e-lecteurs avec des prescripteurs traditionnels
ZazieWeb c’est déjà une notoriété, une marque sur le web, une technologie éprouvée, un lieu, une architecture, une interface… et une certaine expertise, un « machin » qui fonctionne, avec des vrais lecteurs, des usages, du contenu…
ZazieWeb peut apparaître comme un OVNI culturel & technologique, non, c’est une œuvre de bon sens et de service public, je crois…
C’est un acteur web et non institutionnel qui a su gagner la confiance, l’adhésion de son lectorat.
Au-delà de la technologie, ZazieWeb s’efforce de promouvoir la « longue traîne » des contenus… (promotion de la petite édition et des événements…)
Au delà ― toujours ― de la technologie, ce qui compte ce sont les contenus, les publics et la capacité d’avoir su construire/générer du lien entre eux, au risque sinon de vouloir faire exister à tout prix une technologie inhabitée…
S’il existe déjà des projets Web 2.0 et de réseaux sociaux autour de l’image ou du son, de la vidéo (Flickr, YouTube, DailyMotion…), il n’y a rien qui propose/travaille la mise en réseau social de ces contenus francophones… ZazieWeb peut, avec des moyens appropriés, développer des web services supplémentaires à partir de l’existant.
Construire ensemble LE « BookFace » francophone. On rêverait pour cela… JE rêve d’un IRCAM du texte numérique… !!! une sorte de workshop /atelier du livre et de l’écrit numérique.
Un lieu du livre et de l’écrit, pas seulement de la représentation mais du travail contemporain de l’auteur à l’œuvre ! et capable de proposer des ateliers concrets et des projets
Un lieu expérimental d’expérimentations et activiste.
Un lieu où le textuel à l’épreuve du web média serait prioritaire.
Un projet culturel et éditorial qui valorise la posture de l’amateur/du lecteur, la prescription de l’amateur & la qualifie, lui donne du sens et de la visibilité.
Les mots-clés :
· E-Services
· Information
· Médiation
· Sélection
Comment ?
ZazieWeb n’ a actuellement pas les moyens technologiques d’entrer dans une
logique de type « industrielle » qui voudrait que (par exemple…) :
· Les lecteurs puissent constituer leur bibliothèques en ligne
· Les éditeurs, référencer leur catalogue
· Les institutionnels, référencer les titres aidés
· Les bibliothécaires, promouvoir leur sélection dans d’autres
domaines que le livre
· Les libraires, être référencés et pointés par un outil de
géo-localisation, promouvoir leur agenda
Il n’est pas ici le lieu d’entrer dans le descriptif du cahier des charges.
Ces développements et applicatifs technologiques sont assez précis, pas forcément compliqués, mais nécessaires…
Et parce qu’il devient vital de constituer une vraie équipe projet/développement et que je n’en ai pas les moyens. J’anime en effet ZazieWeb en solo et estime que Zazieweb est à 30% des e-services qui seraient à développer…
A votre disposition pour en discuter… sur le web ou ailleurs !
Isabelle Aveline – ZazieWeb.fr
aveline[arobase]zazieweb[point]fr (Pour lui écrire, remplacer par le bon caractère ce qui est en crochet carré).
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Pour compléter son propos :
Une conférence sur Zazieweb à Lyon le 13 mai 2002.